8 février / Ce n'est pas parce qu'elle le fait à tire-larigo qu'elle aime ça, en jouie et jouie. D. Me rappelle une fille que j'ai connu qui se donnait à qui voulait ( et même plus si cela était possible ) parce que ça venait de débuter dans sa vie sur le coup d'un gigantesque dégoût, une déprime « de chez déprime » et qu'il fallait bien que cette nouvelle ouverture fonctionne serve à quelque chose, à ce pour quoi elle était faite ( elle venait d'être faite ou « élargie » par moi ( je ne saurai jamais, inexpérience de ces époques, main rouge de sang contre le mur blanc, plus signifiant que formel...), soit utilisée à outrance soit visitée sans débander ( déjà fort large ) ne pas laisser perdre ce trou ainsi foré pour l'éternité du sexe sans choix.

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