21 octobre / Un des rares jour de pluie sur la capitale. Chaises vides, vides d’occupants, absence non pas due à la pluie mais au fait que l’homme d’ici est debout, perpétuellement vertical comme planté inutilement dans le paysage . Tout lieu est public pour le boukhistanais pourtant très renfermé sur lui-même, on ne peut cependant parler de jardin public : à quoi servirait-il, à quoi cela servirait-il ?

CY-03